Comment avez-vous découvert le Campus ?
« J’aime rencontrer les personnes en présentiel, je cherchais un cabinet en Normandie pour mon activité et je l’ai trouvé ! C’était il y a deux ans, peu de temps après l’ouverture de ce tiers-lieu. Je connais bien la région car je suis originaire d’Alençon, et je me partage entre Paris et la Normandie.
Quel type d’activité y exercez-vous ?
« Les bénéficiaires de mon activité sont des gens qui se questionnent, veulent faire le point sur les moyens d’évoluer, sur leur carrière, étudier les possibilités de reconversion. Je suis là pour les accompagner s’ils ressentent un manque de confiance, un sentiment d’imposture, pour les aider à apprendre à dire non. Ce métier est pour moi-même une reconversion faite en 2018 ».
Quels sont les atouts de ce tiers-lieu ?
« Au Campus, je peux profiter d’un bureau individuel pour préserver la confidentialité des échanges. C’est un endroit beau, serein, et c’est important lorsqu’on conseille des personnes fragiles. Elles ont besoin d’un cadre bienveillant. En plus des bureaux, il y a un espace de coworking, un jardin potager, une cuisine, et l’équipe est très accueillante. Y travailler me permet d’avoir des interactions, de créer une émulation. Cela compte beaucoup car j’exerce un métier plutôt solitaire. On se sent bien au Campus ».